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dimanche 18 septembre 2011

Vellini, psganarel : entre frustation, censure et contradiction

Vellini est une belle plume, au choix très sur pour illustrer son propos de fort belles images.

Mais on ne peut pas commenter... frustration

Une belle plume aussi, dans un style d'écriture totalement différent : psganarel.

Mais là, je n'arrive presque jamais à commenter... auto-censure

Ceci me laisse très perplexe. Auriez vous une explication ?

***

Message personnel à Enfant Gâté : Merci pour votre commentaire. Mais je n'ai pas encore digéré votre dernier billet. Donc, ravie et agacée. Bref, en pleine contradiction. Ce qui a le don de me faire taire. Vous pouvez vous vanter !

Cela dit, j'allais parler de déviance et de fétichisme...


[pas de nu masculin, je vous invite à en voir chez psganarel]

vendredi 9 septembre 2011

We shall overcome


Pour certains, cette fin de semaine se déroulera dans une atmosphère particulière.

Un film au ralenti, entrecoupé de flashbacks.

On aura eu beau détourner les yeux des articles et des photos de magazines, couper la télé, éviter soigneusement les conversations passéistes.

Demain partiront quelques emails, préparés en toute discrétion depuis plusieurs jours, en se refilant l'air de rien les nouvelles adresses de l'un ou l'autre.

Pudeur qui fait taire ou fuir.

10 ans passés. Et je me souviens de ces 24 heures là très précisément. Je ne suis pas la seule.

A. ne viendra pas demain au bureau. Il y avait deux de ses associés dans un avion. On sait mais on n'en parle pas plus que ça.

On comprend mieux d'autres silences.

La veille, un lion fut abattu dont la voix aurait dû être entendue. Mais on n'écoute pas les cassandre...

Avons-nous appris quoi que ce soit de ce jour là ?

La suite a prouvé que non. L'arrogance devint plus vive que jamais.

Mais la mécanique des corps est immuable. Le bruit mat de ceux qui tombent aujourd'hui résonne moins dans le tumulte de la daube faussement mondialisée qu'on nous donne à entendre.



Alors, j'expose sans fard mon tropisme pour cette ville qui n'est pas tout à fait les USA, mais tellement l'Amérique.

New York qui selon la légende ne dort jamais, et qui se relève de tous ses maux plus étonnante et stimulante à chaque fois. Et hors limites, règles et morale.


Un jour, si vous êtes sages, je vous raconterai mon New York, New York City sur Hudson.

Mais ça sera plutôt celui où l'on baise dans une suite très ordinaire du Pierre mais on était plusieurs, où j'ai refusé de monter dans une limousine à la sortie du Studio par peur de crever des ballons, où dans les arrières salles enfumées, exclusivement viriles ou presque, le cuir avait l'odeur de foutre, où la peur d'un mal inconnu et honteux le disputait au vertige de l'extravagance et de l'interdit, où les bloody mary du dimanche matin sur 1st avenue succédaient au dernier verre de champagne dans un atelier d'artiste pop, où la musique ...

L'heure n'est pas venue ; et pour paraphraser une phrase célèbre, je ne crois pas au paradis et il ne me manque pas.  Mais l'enfer...



We shall live in peace, some day.

Oh, deep in my heart,

We shall all be free, some day.

Oh, deep in my heart,

We are not afraid, TODAY

Oh, deep in my heart,

We shall overcome, some day.

Oh, deep in my heart,
I do believe
We shall overcome, some day.

vendredi 2 septembre 2011

Yououuu !!! de la rousse, des claques et des poils - L'arnaque (suite)

Christina Hendricks - Mad Men

And now ladies and gentlemen...

J'ai la chaine cryptée décryptée alors que je n'ai rien demandé !

Vivi... Canal plouch comme dit mon concierge.

Le grand taiseux, l'air soupçonneux, me demande : t'aurais pas appuyé sur OK par inadvertance par hasard ?

Bah non !

Zieutons donc. Est-ce que c'est vraiment par hasard que j'ai zappé à CE moment là ?



Roooh et puis la rousse !


spécial dédicace à Jeff ; je ne crois pas que ce soit
des bas couture mais...


Dans la série, je demande le monsieur

Ah mais le voilà !

Il a l'air rigolo, dites donc.
l'humour, indispensable


yummy !

Quand je vous disais qu'il avait des poils.
Ca change des tablettes de chocolat ! mais néanmoins, il garde la classe...

Très bauhaus, non ?

Décontracté

intéressante didascalie
(mais j'ai un doute sur la lampe, 60s vraiment ?)

En jeans

Pour ces messieurs, notamment, on y revient :

Courbes et trapèze

La secrétaire


Yououuu !